Le liboké (signifie « paquet ») : un plat et un mode de préparation de la nourriture dans le bassin du fleuve Congo. Cette préparation est mise en papillote faite de feuilles de bananier, et mise à la cuisson directement sur une grille mise au-dessus d’un foyer.

Le bouillon : on peut dire que c’est l’un des grands classiques de la cuisine congolaise. On le retrouve dans les foyers mais aussi les malewa (les restaurants de rue qu’on retrouve dans presque chaque coin de rue de villes comme Brazzaville ou Kinshasa). On trouve des bouillons de boeuf ou de poissons.

Nous pouvons prendre l’exemple du bouillon sauvage. Ce bouillon, à base de poisson fumé ou crevettes fumées, est composé principalement de ressources naturelles végétales comme le koko.

Les plats braisés : c’est l’une des cuissons préférés au Congo. Poissons, viandes, poulets marinés sont cuits généralement au charbon. Vous retrouverez dans chaque restaurant (peu importe la gamme) cette cuisson.

Le manioc : c’est LA plante qu’on utilise sûrement le plus dans la cuisine congolaise. La chikwangue, le pain de manioc est peut-être l’un des accompagnements les plus populaires dans le pays à cause de son faible coût sur le marché.

Le foufou : la farine de manioc est mélangée avec de l’eau et donne ainsi une pâte. Il est généralement l’accompagnement des plats comme le bouillons.

Le 3 pièces : on l’appelle ainsi car il est composé, principalement, de 3 ingrédients : la pâte d’arachide, le koto et la viande (ou le poisson). Le koko est une feuille sauvage de lianes qu’on trouve dans les forêts en Afrique centrale. Elle est vendue coupée finement au marché.